Quand je dormais il m’a embrassé
Lui racontais-je l’air angoissé
Il me parlait de son dos hurlant
Des douleurs de gratouillis insignifiant
Il est le Grand Chapelier
Je suis ce pauvre escalier
Quand je me levais il m’a caressé
Lui dis-je l’air d’une âme offensée
Il me parlait de sa trouvaille, « le cornacée »
Un chapeau plus haut que l’immensité
Il est le Grand Chapelier
Je suis ce pauvre escalier
Il est a près de moi, sous mes draps
Il y a là, près de lui, un chapeau bas
Si bas, qu’il en ai ridiculement fugace
Il y a là, près de moi, des lèvres si voraces
Il est le Grand Chapelier
Je suis ce pauvre escalier
Et sur moi, l’escalier
Vole et vogue le Chapelier
Incompréhensible, ni descriptible
Il dit des mots et a des maux débiles
Le Chapelier fier de son esclalier
Me pose une question d’initier
Cap de les descendre sans glisser
Ou m’aimes-tu parce que je………..
Alors, je te niais (non), biaiserais (non)
Je n’ai pas d’idée….. Dis-je au Chapelier
Le chapelier me regarde, il me dit en se grattant le nez
File sous ta jupe, lui avec un éclat de rire singulier….
Le Chapelier m’aurait-il posé un lapin mauvais
Ou le lapin est-il un chapelier pervers trop pressé….