lundi 21 septembre 2009

Délir passionnel




J’ai supposé essuyer tes larmes blessées
J’ai supposé t'apporter le confort souhaité
J’ai supposé t’aimer d’un amour édulcoré


Comme pour ne pas en finir, j'écris désabusée
Ou je m’écrie des mots, des vers en français
Des mots nés pour repousser ou régner
Des fables d'un autre temps, d'un autre passé


Ce temps-là où j’avais cru peut être existé
J’ai quelquefois sur mes joues des larmes salées
Qui s’écoulent et s’enroulent sur ma fatalité
Avec ce sentiment qu’ils m’ont tous abandonnés


J’ai supposé un instant pouvoir su t’amnésier
J’ai supposé devenir une autre sans l’ignorer
J’ai supposé que tu supposerais ce que je supposais






J’ai cru que......

1 commentaire:

  1. Tel est cru qui voulait croire
    Tel n'est plus quand finit l'espoir

    Mais toute fin est un début
    La fin d'un rêve fait naître un but...

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avis déonthologique