La cloche a sonné... c'est l'heure de la récré
Je te cherche, t'es pas dans les toilettes, t'es pas cachée ?
Près de la poubelle à éplucher ton orange, j't'ai pas trouvé....
Il s'approche, il me parle de sa grosse voix doucement
Il me caresse les joues, m'essuye les larmes gentiment
Il m'entraîne vers la sortie et m'enserre avant, tendrement
La cloche a sonné, ils sont tous à pleurer
Je te cherche, t'es pas sous mon siège, t'es pas cachée ?
On m'explique que maintenant t'es dans cette boite toute dorée....
Ils s'approchent, ils me parlent leurs voix tristement
Ils me caressent les cheveux, s'imprègnement douloureusement
Ils me portent vers la sortie et j'hurle sans m'arrêter, frénétiquement
La cloche a sonné et je ne me souviens plus de ton visage
J'ai juste un temps, une photo et ton prénom si sage
J'ai grandi, j'ai vieilli et je continue à te chercher avec rage....
J'te trouve pas... Aide-moi.......
Jamais très loin de toi.
RépondreSupprimerTends la main...
Tu sens cette caresse
Celle du vent
C'est mon souffle qui te guide
Vers cet ailleurs où ton esprit vagabonde.
hummmm, nairolf, j'ai rien contre sam.... bien au contraire, j'aime son contrario sur le chemin.... j'ai adoré son 2.... mais j'aime tellement ta prose...que ça me manqué....
RépondreSupprimermanquait
RépondreSupprimerUn acte manqué
RépondreSupprimerou
Un acte manquait ?
Bonne question...
le trois est en prévision, merci de cette attention ma chère
RépondreSupprimermais devant les vers de sieur nairolf je ne peux que souffrir de la comparaison
mes mots sont volages, desordonnés et cabotins, je ne peux leur demander plus qu'à être eux-mêmes,et cela me suffit grandement ^^